• Les derniers jours du monde (film d'Arnaud et Jean-Marie Larrieu)

    C'est la fin du monde ! "enfin libres" titre l'affiche du film....libres de quoi et pour quoi ? je vous laisse deviner...

    demain on sera tous morts, donc  les us, coutumes, lois  et tabous ont tendance à s'effilocher : les deux principaux acteurs masculins du film, Matthieu Amalric et Sergi Lopez , se baladent la quéquette à l'air plus souvent qu'à leur tour.

    D'ailleurs je crois me rappeler qu'Amalric avait déjà ces tendances dans "La question humaine", mais bon...c'était pour la bonne cause, la lutte contre le nazisme qui renaît de ses cendres, et là c'est pour la fin du monde, donc un peu de tolérance et de compréhension quand même !

    d'autant plus que je signale, pour les dames qui lisent encore ce blog, si toutefois il en reste, que le beau Sergi est vraiment très avantagé par la nature....d'ailleurs c'est le seul passage du film qui m'a mis vraiment mal à l'aise, car une spectatrice assise non loin de moi a émis un sifflement admiratif à la vue du beau Sergi en Adam, et j'avoue que je suis un peu jaloux de ce côté là...

    en tout cas il l'a bien 2 fois plus grosse qu'Amalric, qui fait un peu pitié ....et en plus il a les fesses qui tombent ! si ! si !

    petit quart d'heure cuculturel pour bien rappeler qu'on est sur un blog cuculturel : la fin du monde est prévue parait il pour le 21 décembre 2012, d'ailleurs c'est les anciens Mayas qui l'ont dit, donc pas question de plaisanter avec ça ok, sinon vous êtes occidentalocentriste. Cependant Nostradamus a confirmé il y a cinq siècles environ, et c'était un juif de la tribu de Benjamin converti au catholicisme, donc il savait certainement de quoi il parlait...

    mais revenons au film : donc c'est la fin, le jugement dernier, tout le monde couche avec tout le monde et réciproquement, les femmes se baladent elles aussi en tenue d'Eve, et semblent n'avoir qu'une idée en tête : se faire faire du broute-minou !

    il y a aussi des aspects bien agréables : on trouve toujours de l'alcool gratis dans les hotels, le champagne est encore au frais dans les seaux à glace, et tous les clients et serveurs sont morts, donc il suffit de se servir... sympa la fin du monde !

    Robinson (Matthieu Amalric) est marié avec Karin Viard, dont il a une fille charmante, mais voilà t'y pas qu'alors qu'ils sont en vacances à Biarritz chez les parents de Robinson, celui ci a une idylle avec une belle salope ténébreuse, répondant au beau prénom de Laetitia (ou Lae) à l'aspect métis et androgyne (l' actrice Omahyra Mota, voir photo ci dessus) , qui travaille dans un club échangiste (ne me demandez pas en quoi peut consister un tel travail, je n'ai jamais mis les pieds dans ce genre d'endroits, et je n'ai pas honte de le dire)... en tout cas elle doit connaître des tas de trucs, car Amalric a vraiment l'obsession de la retrouver, et elle est pratiquement toujours à poil, pour le plus grand plaisir des spectateurs libidineux (masculins, forcément, puisque la Femme avenir de l'homme et qui l'entraîne vers les hauteurs est  à mille lieues au dessus de ces saletés) !

    mais elle disparait, et Robinson pour se consoler aura une liaison avec Catherine Frot, qui avait déjà été l'amante de son père vingt ans avant...dans le film bien sûr...donc voilà que cette chienne se tape le fils après le père...ça tombe bien d'ailleurs car les parents d'Amalric se tuent en haute mer...et puis c'est la fin du monde, il y a des épidémies, des bombes, Moscou est rasée ainsi que la côte est des USA, quant à Bagdad on n'en parle même pas. En tout cas Catherine Frot finira mal, elle s'égorgera elle même lors d'un opéra du beau Sergi, en tentant, dernière malice, de faire porter le chapeau à Amalric !

    Entre temps Sergi l'avantageux étalon aura été prévenu par une ancienne maitresse aristocrate devenue astrologue qu'il a une fille, qui est serveuse dans le club échangiste et qu'il doit coucher avec elle pour éviter l'apocalypse !

    pour sauver le monde le beau Sergi répond "présent!" et il passe toute un nuit avec la fille (qui en plus est jolie, ce qui arrange bien les affaires du monde) à baiser comme des castors ! cela se passe à Toulouse, ville où le gouvernement s'est réfugié après avoir appris la destruction imminente de Paris...

    mais voilà t'y pas  qu'Amalric arrive dans la chambre, fuyant les bombes et les attentats à la roquette, à la recherche d'un peu d'alcool et de chaleur humaine... or justement, Sergi lui déclare qu'il est amoureux de lui depuis toujours, d'accord il est à voile et à vapeur et il vient de se taper sa propre fille (mais attention hein, c'est pour sauver le monde...ne pas confondre) , qui dort encore à côté du sommeil du juste, mais c'est Robinson qu'il aime, et sans vergogne il lui propose la botte, là, tout de suite, allez on se lâche, d'ailleurs c'est la fin du monde non ? put the Hell !

    Amalric est un peu récalcitrant mais n'ose pas trop le montrer, l'autre est bien plus costaud et membré comme un cheval !

    mais là il a une idée de génie  : "arrête, tu sens mauvais ! j'aime pas !" ... ouf ! il gardera son pucelage anal (à moins qu'il ne l'ait perdu avec l'autre chienne au look androgyne qui joue de la flûte dans un bordel, avec ces filles "émancipées", on ne sait jamais ce qui peut leur passer par la tête comme idées tordues).

    En tout cas, le beau Sergi est un peu déprimé : il finit la bouteille de scotch, prend une douche pour ne pas mourir sale et se défenestre !

    bon, il y a encore quelques péripéties :  Amalric part avec la fille de Lopez, qui a un rendez vous dans un château muni d'un abri atomique, il fait l'amour avec elle dans un hotel où tout le monde est déjà mort, ce qui leur permet au moins d'être tranquilles, mais voilà qu'elle meurt elle aussi, en plein orgasme ! damned !

    il ira tout seul dans le château, qui appartient à la vieille aristo qui avait été la maitresse du beau Sergi dans le temps, et l'avait prévenu  sur les conseils de Nostradamus de coucher avec leur fille pour retarder l'Apocalypse d'un jour ou deux... mais là encore ça tourne mal, la vieille peau d'aristo, apprenant la mort de sa fille, se suicide en se mettant au lit sous la couette recouverte d'une croix, et tout le monde partouze avant d'être empoisonnés par les valets frustrés de ne pas pouvoir prendre part aux festivités!

    il finira par regagner Paris où il retrouvera la belle métis androgyne, mais ils n'auront pas le temps de faire une floppée de gosses : voilà qu'ils disparaissent dans une grande lumière blanche, aux sons d'une chanson de Léo Ferré qui dit à peu près  ceci : "ton cul c'est ton style"... à moins que ce soit l'inverse... en tout cas je trouve que ça résume bien l'esprit du film !

    Ah oui, j'oubliais le principal : des missiles nucléaires sont sur le point de s'abattre sur la France, le président et l'armée ne contrôlent plus rien...

    moi j'achète ! Ça fera du grain à moudre pour Pujadas

     

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     Arnaud Larrieu, Jean-Marie Larrieu dans Les Derniers jours du monde (Affiche)


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