• C'est arrivé près de chez vous...

    Au Danemark , un jeune homme somalien âgé de 28 ans, en situation régulière administrativement parlant, est entré par effraction, armé d'une hache et d'un couteau, au domicile de Kurt Westergaard, un des "caricaturistes de Mahomet" dans l'intention de le tuer pour "venger l'honneur des musulmans" :

    http://www.bivouac-id.com/2010/01/02/danemark-la-police-tire-sur-un-homme-tentant-dentrer-chez-un-caricaturiste-de-mahomet/

    Accompagné de sa petite fille âgée de 5 ans, le dessinateur danois a heureusement pu se réfugier dans une salle de bains fortifiée qu'il avait fait aménager après d'autres tentatives de meurtre visant sa personne.

    il a prévenu la police, qui est intervenu rapidement, et a neutralisé le forcené d'Allah en le blessant par balles...

    autre nouvelle récente, dont la connection avec la précédente se trouve dans...l'Islam : l'Irlande interdit le blasphème contre toute religion, sous peine de lourde amende:

    http://www.bivouac-id.com/2010/01/03/irlande-une-loi-contre-le-blaspheme-voit-le-jour-des-athees-entrent-en-resistance/

    Un site se disant "athée" entre en résistance contre cette loi stupide en publiant sur son site 25 citations athées émises par différents personnages bien connus de l'Histoire, depuis Jésus-Christ et Mahomet jusqu'à Frank Zappa, Salman rushdie ou Richard Dawkins :

    http://blasphemy.ie/2010/01/01/atheist-ireland-publishes-25-blasphemous-quotes/

    Question toute simple :

    qui sont ici les athées, qui sont les esprits vraiment pieux et religieux ?

    Il a déjà été démontré ici que l'athéisme prend plusieurs formes, et que ce n'est pas forcément ceux qui ont "Dieu" à la bouche à tout bout de champ qui sont les plus pieux...bien au contraire même !

     imaginer que "Dieu" peut être atteint par une insulte ou un blasphème, et pourrait ensuite réclamer vengeance par le sang comme n'importe quel abruti sur l'autoroute, c'est proprement nier dieu, le ravaler aux conceptions vulgaires et idolâtres des foules fanatisées et hystériques que nous connaissons trop...

    "Dieu" ne peut jamais être utilisé , pour rien du tout de "mondain", mais pour rien moins que pour ôter la vie à quelqu'un...

    s'il est "quelque part" en cette occasion, c'est aux côtés de la petite fille de 5 ans terrorisée de Kurt Westergaard qui entend les coups de hache s'abattre sur la porte blindée qui la protège ...et qui entend les hurlements non humains du monstre qui réclame "le sang" et se réclame d' "Allah"...

    je ne sais pas ce qui se trouve au fond du coeur des fondateurs du site "Atheist Ireland", mais je suis en tout cas certain que s'opposer à certaines religions en place ou à leurs excès et à leur ridicules , ce n'est pas forcément une preuve d'athéisme...

    et qu'il se pourrait bien que ce qui se présente ainsi comme "athéisme" ne soit que la forme moderne d'un combat éternel, celui qui consiste à purifier les conceptions à propos de "Dieu" de toute corruption par l'idolâtrie populaire...


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  • Dans le dernier numéro 643  de "Marianne" , consacré aux "sacrés faux culs", à savoir les intégristes religieux, Michel Onfray, "ze" philosophe qui a écrit le célébrissime "Traité d'athéologie", est interviewé.

    Pour ma part, ce filousophe m'indispose, et son "athéisme" (oh mais pardon il s'agit d'athéologie, pas d'athéisme..mille excuses !) m'inciterait plutôt à entrer dans les ordres... quand on le compare aux fulgurances de l'athéisme chrétien qui est celui de Nietzsche...oui, parfaitement, "athéisme chrétien", il ne s'agit pas d'une faute de frappe !

    et ce monsieur nous ressert sa vieille soupe des "religions comme pulsions de mort", qui échangent les plaisirs certains de l'ici bas (sexe, bons vins, etc...) contre un supposé au delà ...ou, encore, comme on dit :

    "boire un petit coup c'est agréable....et tirer un coup dessous la table c'est encore mieux... un ptit cul que tu tiens vaut mieux que deux tu l'auras gros bêta"

    en somme, Michel Onfray est un traditionnaliste, un chantre de l'éternelle "sagesse des Nations" !

    mais quand l'entretien aborde l'Islam, alors là le "lion" se change en..."lionceau" ...jugez plutôt ...c'est msieu Onfray qui parle :

    "le problème est donc moins dans le port d'un voile que dans la lecture d'un livre dont bon nombre d'enseignements sont clairement et explicitement en contradiction avec la loi française. Si l'on veut vraiment un débat clair, il faudra aborder la question des sourates homophobes, antisémites, belliqueuses, misogynes, phallocrates, qui tombent clairement sous le coup de la loi française"

    Eh oui ! admirez la détermination ! en voilà un homme, et un vrai !

    En 1932, gageons que Michel Onfray se serait écrié, la main sur le coeur :

    "le problème est donc moins dans le port d'une  croix gammée que dans la lecture d'un livre dont bon nombre d'enseignements sont clairement et explicitement en contradiction avec la loi allemande. Si l'on veut vraiment un débat clair avec Monsieur Hitler , il faudra aborder la question des chapitres racistes, antisémites, belliqueux, revanchards, va-t-en-guerre, qui tombent clairement sous le coup de la loi française comme de la loi allemande"

    ah ça on aurait vu ce qu'on aurait vu ! et les "chemises brunes" se le seraient tenu pour dit !

    "il faudra"

    quand ça , "il faudra" ?

     bah attendez ! y a pas le feu au lac quand même !

    mais il faudra... un jour... plus tard ... pas demain j'ai rendez vous avec Monique nique nique.... pas non plus après demain, j'ai ma séance de golf avec Pierre-Edouard ...

    mais il faudra un jour...promis juré...dans le futur quoi... à la Saint Glin Glin, quand les poules auront des dents, le jour où l'on rasera gratis... bon, allez,  ciao amigo, on se téléphone, on se prend un pot , on se fait une bouffe, mais on en discute hein...sans faute !

    mais attention... il faudra, mais pas pour réprimer ou pour interdire, c'est facho ça ! c'est réservé à l'Irlande , un pays de cathos, comme par hasard, suivez mon regard (d'ailleurs Benoît XVI le pape panzer il aurait pas du sang irlandais ?)  :

    http://www.bivouac-id.com/2009/08/24/nouvelle-loi-contre-le-blaspheme-en-irlande/

    et nous, on n'est pas des fachos, on est des occidentaux post-modernes et multiculturalistes éclairés (par les néons ou les Lumières) , amis du débat sans concession....démocrates quoi !

    Non, il faudra : "pour que l'on puisse avoir un débat clair"....chez Ruquier par exemple, ou bien chez Ardisson...allez, lâchons nous complètement : pourquoi pas chez Delarue, ou au beau milieu de "Secret Story", ou de "Plus belle la vie" ?

    le moins qu'on puisse dire c'est que Rifka Bary (voir article précédent) doit être rassurée, avec de tels héros, de tels mâles qui assurent comme c'est pas pensable ! eux vont la défendre contre sa famille qui veut la tuer parce qu'elle a quitté l'Islam !

    il faut vous dire qu'en ce moment "les zéros sont fatigués" car ils sont tellement occupés avec les méchants agents de la CIA de bush qui "menaçaient les suspects de tuer leurs enfants s'ils ne parlaient pas", ou "avec une arme non chargée", ou même une perçeuse...on ne peut pas faire deux choses à la fois quand même !

     espérons que ces obamaphiles, quand ils en auront terminé avec ces "fachos de la CIA" , s'occuperont des agissements de la police iranienne envers les manifestants contre Ahmadinejjad :

    http://www.bivouac-id.com/2009/08/23/le-calvaire-dun-jeune-manifestant-iranien/

    pour les inspirer, nous les encourageons à lire cet article d'un blog consacré aux Berbères :

    http://www.blogg.org/blog-13255.html#1072620

     

     

     


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  •  pour une critique partant de bases (religieuses) différentes des nôtres (qui sont purement logiques), voir le blog "Mensonge du Coran" :

    http://www.blogg.org/blog-55966.html#1089790

    devant les nombreuses insultes à caractère antisémite des islamistes qui ne supportent pas de constater que l'imposture coranique est ici démontrée, et comme Blogg ne permet pas la modération des commentaires, nous avons supprimé toute possibilité de commentaires sur le blog, en attendant que l'enquête de police ait permis d'arrêter tous les coupables (à ce jour, un seul, vivant en France, a pu être arrêté et mis en détention).

    cependant vous pouvez , si vous avez quelque chose d'intelligent et surtout de légal à dire au sujet de cette preuve, vous exprimer sur les groupes (modérés):

    http://groups.google.fr/group/croisades

    http://greatcrusade.multiply.com/

    http://islamvsmathesis.multiply.com/

    ainsi que sur le blog associé à celui ci (où les commentaires sont possibles, mais modérés à priori) :

    http://leserpentvert.wordpress.com/

    ***************************************************************

    La chute de la maison Islam

    L'une des thèses islamiques fondamentales, qui est en quelque sorte en Islam un axiome, et qui se trouve d'ailleurs dans le Coran lui même (par exemple : sourate 11 , verset 1) est celle de la perfection absolue  ainsi que de la non contradiction du Coran, qui, lui et lui seul, représente la Vérité ultime et immuable adressée par Dieu à l'ensemble de l'humanité.

    Or, (valeur de) vérité (d'une proposition) et contradiction sont des notions logiques, il est donc normal de s'intéresser aux affirmations coraniques du point de vue de la logique, ce que l'on va faire ici. Il est courant, lorsque l'on discute avec un musulman, de se voir mettre au défi de "montrer une contradiction dans le Coran". Il y en a des tas bien entendu, mais le problème est que l'on peut toujours jouer sur le sens des mots, et que l'on entre alors dans des discussions à n'en plus finir. Et ce d'autant que les musulmans ont trouvé un tour de passe-passe assez efficace : quand deux versets se contredisent, ils parlent de "versets abrogés" ou "abrogeant". Ainsi le vilain mot de "contradiction" est évité. Mais l'on démontrera ici, en utilisant la logique mathématique moderne, qu'il est impossible que le Coran soit à la fois parfait (au sens de : permettant de démontrer toute proposition vraie) et non contradictoire. Or comme il affirme être l'un et l'autre, le Coran ment.

    Il restera bien sûr une issue : c'est que la "perfection" du Coran soit autre que celle consistant à contenir toute vérité. Mais dans ce cas cela laisse la place à la "perfection" des autres livres sacrés (de l'hindouisme, du paganisme, du christianisme, etc...) et l'Islam n'a plus le droit de se proclamer "seule voie vers la Vérité donnée par Dieu à toute l'humanité".

    Une autre issue sera de clamer qu'il est impossible de transcrire le Coran en langage formel (car le théorème d'incomplétude de Gödel ne s'applique qu'à de tels langages) : mais dans ce cas il est impossible de vérifier ou de réfuter la non-contradiction du Coran, notion qui à la limite n'a de sens réel que pour des langages formalisés.

    Je me propose donc ici de réfuter la thèse islamique au moyen des outils de la rationalité moderne, et en particulier ceux de la théorie des catégories ,  dans son application à la logique mathématique. On a ainsi découvert récemment que les théorèmes d'incomplétude de Gödel ne sont que des cas particuliers de théorèmes très généraux dits de "point fixe" dans des catégories cartésiennes fermées.

    Je me placerai d'emblée dans la catégorie bien connue Prop des propositions élémentaires (ou plutôt, en jargon logique, "atomiques", c'est à dire non décomposables en sous-objets) : cette catégorie possède comme objets lesdites propositions (  quelle que soit leur forme : narrative, injonctive, ...) et on a une flèche entre deux objets A et B si A implique B.

    Cette proposition possède des propriétés bien connues et très satisfaisantes, en particulier elle possède toutes les limites finies. Bien entendu, la collection des "objets" est d'une infinité tellement "énorme" qu'elle se situe d'emblée hors de la collection des "ensembles", voire même des collections qui sont "plus grandes que tout ensemble", à savoir les classes, conglomérats, etc.. mais nous restons dans le cadre de la théorie des catégories, puisque la collection des morphismes entre deux objets sera toujours un ensemble, et d'ailleurs un ensemble fini (limité à deux éléments )

    Je rappelle ici la notion catégorique de limite d'un diagramme car elle est essentielle pour ce qui va suivre.

    Etant donné deux catégories C et D et un foncteur F allant de D vers C, un cône sur F consiste en :

    1 un objet c de C

    2 pour tout objet d de D, un morphisme m(d) allant de c à F(d) dans la catégorie C et tel que pour tout morphisme u dans la catégorie D allant de a vers b on ait: m(b) = F(u) * m(a) (où je note par * la loi de composition associative des morphismes dans une catégorie).

    Le point 2 de cette définition résulte donc en la donnée d'une famille de morphismes de la catégorie C indexée par les objets de D.

    La définition de la limite d'un foncteur est alors la suivante.

     Etant donné un foncteur F défini comme précédemment, une limite de F est un cône (L, (p)) possédant la propriété d'universalité, c'est à dire tel que pour tout cône (M, (q)) sur F il existe un unique morphisme m dans la catégorie C tel que pour tout objet d de la catégorie D on ait : q(d) = p(d) * m

    Je n'ai pas la possibilité sur ce clavier de transcrire les notations mathématiques bien connues d'indexation : donc par exemple (m) est à comprendre comme famille indexée par les objets de D de morphismes de C, de même pour (q).

    On pourra se reporter pour plus de clarté à n'importe quel manuel, par exemple Borceux  : "Handbook of categorical algebra" Tome 1 page 56 (Cambridge), ou bien n'importe quel cours en ligne, taper sur Google des mots clés comme "category functor", le meilleur à mon avis est celui d'Awodey en format pdf.

    La limite d'un diagramme est alors un cas particulier, puisqu'un diagramme dans une catégorie C peut être considéré comme un foncteur allant vers C depuis un ensemble fini I considéré comme catégorie discrète (sans flèches).

    Dans le cas qui nous occupe, la limite d'un diagramme consistant en une collection finie de propositions reliées éventuellement par des flèches d'implication sera tout simplement leur conjonction au sens logique : c'est à dire la proposition les impliquant toutes et telle que toute proposition impliquant toutes les propositions du diagramme implique aussi leur conjonction (propriété d'universalité de la limite).

    Dans ce schème conceptuel, le Coran peut alors se formaliser comme une sous-catégorie de Prop, et même comme une sous-catégorie de la sous-catégorie des propositions vraies (si l'on admet avec les musulmans que le Coran est entièrement véridique). Nous noterons cette catégorie Cor, et l'on aura donc , si l'on note < le foncteur d'inclusion:

                          Cor < True < Prop

    Comment se traduit la notion de perfection dans ce schème ? très simplement : elle implique que pour toute proposition vraie ne figurant pas comme objet dans Cor , on puisse exhiber au moins un "chemin" fini de flèches successives menant à cette proposition et prenant son origine avec un objet de Cor.

    Parmi les objets de Cor, on distinguera ceux qui en sont en quelques sorte les axiomes ou encore les objets initiaux, tels qu'on ne puisse les dériver d'aucun autre objet, mais qu'à partir d'eux on puisse dériver par morphisme d'implication tout autre objet de Cor, et donc à cause de ce qu'on a vu précédemment toute vérité. On aura donc une famille d'objets, finie évidemment , non reliés entre eux par des flèches. On pourra alors former la limite du diagramme ainsi formé, qui ne sera autre dans ce cas que le produit catégorique des objets considérés. Nommons A (comme le "Grand Autre" de Lacan) ce nouvel objet, non présent (éventuellement) dans le Coran mais dérivé de lui rationnellement et représentant, sous la forme d'une proposition finie , la quintessence de la Vérité Absolue qu'est d'après l'Islam le Coran.

    De par les assertions précédentes, on voit que de A découlera, par voie d'implication, toute vérité. En particulier, tous les théorèmes de l'arithmétique en découleront.

     On se trouve donc en présence, dans un langage formel de type catégorique, d'un système d'objets récursif et consistant (puisque réduit à un seul objet) et permettant de déduire l'arithmétique. Nous nous trouvons donc dans les conditions d'application du second théorème d'incomplétude de Gödel, qui affirme qu'il existe une proposition vraie non déductible du système d'axiomes proposé (ou , dans notre formulation catégorique, non dérivable de l'objet A par une série de morphismes).

    Nous aboutissons donc à une contradiction, ce qui implique qu 'il est faux que le Coran soit parfait et non-contradictoire : or comme il affirme être l'un et l'autre, le Coran est une imposture.

    22 Septembre 2009 :  GRANDE VICTOIRE SUR L'ISLAM

    L'islamiste Fegrouch, dans les commentaires à cet article, a reconnu hier soir que le Coran n'est pas parfait, et donc qu'il est imparfait, plein d'erreurs et de contradictions. Ce que tout le monde sait déjà depuis longtemps, mais il aura fallu prendre le détour de cette "démonstration" pour forcer les musulmans a reconnaître leur fraude.

    Au passage donc, le verset 11-1 est un mensonge, car il affirme :

    "C'est un livre dont les versets sont parfaits en style et en sens".

    Le Coran est donc mensonge et imposture, et tous ses prétendus "commandements" , comme celui de porter le voile, ou celui, raciste, interdisant à une musulmane d'épouser un non musulman, sont nuls et non avenus !

    Il est évident que les vérités essentielles trouvées par la science moderne ne sauraient émaner, logiquement ou non, du Coran, puisque la science moderne se caractérise par la rupture avec l'aristotélisme, alors que la métaphysique adossée au Coran et à l'Islam n'a jamais su dépasser ce stade de la mentalité humaine, qui selon Brunschvicg correspond à celle d'un enfant de 8 ans.

    quelques mots maintenant sur la Vérité, c'est à dire la religion du Verbe intérieur, ou christianisme des philosophes et des savants, que ce blog entend promouvoir...

    L'islamiste Fegrouch dit que la perfection n'appartient qu'à Dieu seul, et donc que le Coran ne saurait être parfait... laissons tomber le Coran, qui n'émane pas de Dieu mais des pires bas-fonds de l'âme humaine; il reste que la perfection "n'appartient pas" à Dieu comme un attribut à une substance : là, nous sommes encore dans la formulation aristotélicienne!

    Dieu est Perfection, en tant qu'il est Unité absolue.

    Dieu est Un-Trine, c'est à dire qu'il se confond avec le Verbe intime "immanent" à chaque conscience humaine, et accessible à ceux qui font l'effort de rompre avec le moi vital pour gagner leur moi spirituel.

    Ce Verbe, ou Logos, ou Pensée infinie, ou Raison absolue, ou encore Vérité, il est ce que nous appelons ici "Mathesis universalis".

    Ce ne saurait être un système propositionnel ou axiomatique!

    Il consiste en les Principes infinis et absolus de toute connaissance et de toute vérité. Ces Principes ne sauraient être "formulés" en un langage, qu'il soit naturel ou formel. Il faut plutôt parler à leur propos comme Wittgenstein à propos de ce qu'il appelle "élément mystique" , (en ajoutant toutefois que la Mathesis n'a rien de mystique, mais est plutôt supramystique)  :

    "ils ne peuvent être dits, mais ils se montrent, dans l'activité intellectuelle infinie de la recherche de la vérité dans la science et la philosophie"

    Et ce Verbe-Logos-Mathesis est parfait, il est perfection absolue puisqu'il n'est pas "un autre" que Dieu. C'est d'ailleurs la vérité éternelle qui émane du prologue de l'Evangile de Jean:

    1. Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu.
    2. Il était au commencement en Dieu.
    3. Tout par lui a été fait, et sans lui n’a été fait rien de ce qui existe.
    4. En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes,
    5. Et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue.

    18 novembre 2009 : suite aux insultes antisémites à répétition dans les commentaires  à cet article...

    Je me vois contraint et forcé de faire passer ce blog en mode "commentaires non autorisés" devant l'afflux permanent d'insultes à caractère antisémite visant ma personne, et provenant de lecteurs musulmans qui ne supportent pas que l'imposture du Coran soit enfin démontrée de manière rigoureuse et indubitable.

    Or j'ai souvent dit que cette "démonstration" est très criticable, employer l'artillerie lourde du théorème de Gödel pour démontrer l'imposture du Coran, c'est un peu comme utiliser un missile nucléaire pour écraser un moustique.

    Par contre elle n'est pas un nouveau symptôme de la "Gödelite aigüe"  qui a frappé plusieurs auteurs, Regis Debray par exemple, et que des gens comme Alan Sokal, Jean Bricmont ou Jacques Bouveresse ont avec raison diagnostiquée : car je précise bien que l'une des premières conditions pour qu'elle marche, c'est qu'il soit possible de transcrire le Coran en langage formel.

    Oui, seulement si ce n'est pas possible, il n'est pas possible non plus de vérifier que le Coran est non contradictoire, ou du moins il y aura des débats incessants sur cette question, car les gens ne s'entendront pas sur le sens des mots : or c'est une thèse, la non contradiction, à laquelle tiennent les musulmans, et ils ont bien tort, car elle n'est en rien un signe de l'origine divine d'un écrit : sinon, l'annuaire téléphonique serait une oeuvre de Dieu !

    Donc je n'ai écrit cette démonstration, qu'en désespoir de cause, devant la bêtise musulmane qui veut à toutes forces que son "livre sacré" soit "supérieur aux autres" (la Bible est pleine de contradictions selon le Coran).

    Et comme cela les fait craquer, c'est bien que je les ai "touché" quelque part : seule la vérité blesse !

    Personnellement je suis contre les lois dites "antiracistes" et j'aurais bien voulu laisser ces insultes, rien que pour montrer leur bêtise, et leur impuissance à répondre : car j'ai toujours précisé que si je suis de naissance juive, je ne me considère pas comme juif, et que cette "origine" n'intervient en rien dans mes positions religieuses et philosophiques.

    mais apparemment la vieille haine antijuive du Coran est la plus forte... et si je n'avais pas effacé ces insultes, qui sont illégales en France, je serais considéré comme complice de leur racisme, et mon blog pourrait être supprimé !

    pour ma part je n'ai rien contre les individus musulmans, bien au contraire : je veux les sauver du coran et de l'Islam !

    car enfin : qui furent, avec les juifs et les tsiganes, les principales victimes d' Hitler et du nazisme ???

    ce sont les Allemands !

    puisque l'Allemagne a été complètement détruite en 1945...

    et les peuples civilisés d'Europe ont commis un crime contre l'humanité, en se refusant à sauver les Allemands de la folie d'Hitler quand c'était encore possible sans trop de casse, de 1933 à 1936...

    Ne commettons pas un nouveau crime : sauvons les musulmans de l'Islam, cette idéologie monstrueuse et destructrice !

    Il reste que plusieurs plaintes ont été déposées, car je n'accepte pas de me plier à la "loi" des agresseurs fascistes et racistes : la dernière fois, à savoir il y a deux jours, lundi 16 novembre, j'ai du passer une demi-heure rien que pour effacer les centaines d'injures antisémites déposées par un certain "I AM".

    Mais que ce petit nazillon islamiste sache qu'il ne s'en tirera pas comme ça : des copies d'écrans ont été faites et livrées aux autorités, et l'administration de "Blogg.org", prévenue depuis longtemps, a pu déterminer son IP, qui est entre les mains de la police anti-terroriste...d'ailleurs j'ai gardé un autre de ses commentaires, correspondant à un autre article, où il me traite de "sale bâtard" (je corrige son orthographe pour lui) ; comme les "bâtards" n'ont pas encore réussi à faire voter une loi les protégeant (dommage pour eux, car ce sont des personnes respectables, comme tout un chacun), je n'ai pas à effacer cette injure, qui ne montre que la stupidité insondable de celui qui l'a écrite... et qui va connaître un avenir douloureux en prison, une fois arrêté et jugé.

    Et quant à moi, une fois justice faite, je pourrai remettre le mode "commentaires autorisés" : car j'ai le droit, comme tout le monde, ni plus ni moins de disposer d'un blog où je puisse dialoguer avec les gens intelligents et polis, y compris avec ceux qui s'opposent à mes vues, ce que j'accepte parfaitement...


    221 commentaires
  • Pas de panique ! le titre ci dessus est une provocation à vocation humoristique, destinée à attirer de nouveaux lecteurs.

    Je signalerai tout de même que du temps où je fréquentais les librairies spécialisées dans "l'ésotérisme" (je les fréquente toujours d'ailleurs, car les médecins recommandent de se payer une bonne crise de fou rire de temps en temps), il existait un livre titré "Je suis le Messie attendu", par un auteur au nom hindou (qui devait donc être tout sauf hindou), et qui faisait un tabac. Ce genre de propos pris au premier degré (ce qu'il ne faut pas faire ici, je le répète) mobilise donc toujours les foules succombant à la fièvre acheteuse. Je rappellerai aussi que le "Maschiakh" du judaïsme n'est quand même pas une notion aussi vulgaire et ridicule , ce ne peut en aucun cas être un individu. Le dernier personnage haut en couleur (mon prédecesseur en quelque sorte) ayant voulu incarner ce rôle a été Shabbataï Tsevi, dit le "Messie apostat de Smyrne" : apostat parce que sommé en 1666  par le sultan turc de prouver ses pouvoirs (en demeurant indemne sous une pluie de flèches tirée par les archers du Sultan) ou de se convertir à l'Islam, il a choisi la conversion, mais il s'est trouvé auprès de lui un "intello", cad un kabbaliste, Nathan de Gaza, pour expliquer que cette conversion n'en était pas vraiment une, que le "Messie" avait choisi de s'abaisser ainsi et de passer pour un imbécile parce qu'il était vraiment le Messie et pour ainsi "sauver les étincelles" (expression kabbalistique voulant dire en gros : ramener les âmes tombées d'Israel vers leur vraie demeure) etc..quand on a mis le pied à l'hopital des frappadingues, il n'y a plus de limites, autant le savoir et en tirer parti pas vrai ? en tout cas les "Shabbataistes" , dont des descendants, appelés les "dunmeh" , existent encore en Turquie et pratiquent des choses aussi sympathiques que le communisme sexuel, ne sont jamais devenus de vrais musulmans, pas plus que les Marranes portugais  n'étaient de bons chrétiens.

    Mais revenons aux choses sérieuses : ce que je veux dire avec ce titre accrocheur, c'est que je considère que la "preuve" que j'ai donnée de l'existence de DIEU considéré comme RAISON ABSOLUE (dont la Raison humaine à l'oeuvre par exemple dans l'arithmétique n'est en aucun cas séparée) est quelque chose d'important, compte tenu du fait que comme je l'ai déjà signalé ailleurs, le MAL RADICAL doit à mon avis exister en ce 21 ème siècle sous la forme d' une alliance entre l'Islamisme le plus violent et les résidus du communisme ainsi que des mouvements d'extrême droite, d'une alliance "rouge-vert-brun" donc,  dont les légions "Waffen SS" musulmanes bosniaques dans les années 40, ou bien les sympathies du mouvement "altermondialiste" pour un Tariq Ramadan, sont des préfigurations encore très lointaines et pouvant sembler peu inquétantes.

    Dans cette perspective, il s'agit, utilisant la terminologie d'un autre mathématicien-philosophe à la réputation sulfureuse, Hoené WRONSKI (1778-1853), créateur du mouvement philosophico-religieux appelé  "MESSIANISME" justement , de "fonder péremptoirement la Vérité sur la Terre et d'accomplir ainsi la religion en PHILOSOPHIE ABSOLUE" : l'accomplir en dissipant toute nostalgie envers l'ancien Dieu des religions, Créateur du ciel et de la Terre, et en démontrant rigoureusement qu'il ne peut y avoir qu'un seul Absolu , la Raison , qui est non seulement la Raison humaine baptisée par Descartes dans les "Regulae" et les "Meditationes" , mais encore la RAISON universelle et absolue. Et comme il ne peut y avoir qu'un seul ABSOLU (ou DIEU), l'existence fondée péremptoirement (par démonstration irréfutable) de ce DIEU prouve aussi que le DIEU des religions n'est qu'une vaine et ridicule superstition.

    Cette preuve que j'ai présentée, et qui est je le répète irréfutable car réalisant l'identité de l'Essence de de l'Existence que les métaphysiciens appellent "Dieu", n'est rien de nouveau. Elle est essentiellement une répétition et une extension du cogito cartésien , ce qu'il est aisé de montrer brièvement : ouvrons par exemple la seconde "méditation métaphysique", Descartes pratique une sorte d'exercice spirituel du "doute hyperbolique", allant jusqu'à imaginer l'hypothèse extrême du "Malin génie", un dieu trompeur qui le confondrait et lui ferait prendre pour des vérités (mathématiques ou autres) ce que n'est qu'erreur et confusion. Mais c'est ici qu'intervient le retournement qui permet à Descartes d'accéder à une (première) vérité absolument apodictique : "si je puis être trompé, encroe faut il que je pense, et donc que je sois". Mais je partage ici l'avis de Husserl dans les "Méditations cartésiennes" : Descartes n'a pas exploité avec assez d'audace sa formidable découverte, un peu comme Christophe Colomb qui n'était pas conscient au début d'avoir découvert un "nouveau monde", il a manqué l'orientation transcendantale selon les termes husserliens. Je préfère pour ma part éviter de parler de l'Ego transcendantal, et croiser au large du continent phénoménologique, dont certaines brumes mystico-philosophiques (signalées par Janicaud dans "Le tournant théologique de la phénoménologie française") me semblent peu engageantes.

    Qui'est ce donc que Descartes a manqué (ou pas suffisamment éclairci), et qui est complété ici  ? c'est qu'il n'y a aucune raison de s'arrêter à la subjectivité individuelle. Si "je puis être trompé", il faut certes que je pense et que je sois réellement, mais il faut encore et surtout que je pense selon le vrai et le faux, donc que je pense rationnellement. Car n'oublions pas (comme le montre les réponses qu'il fait aux objections) que Descartes inclut dans la "pensée" des choses fort diverses comme sensations, sentiments, pulsions... non, ici c'est la pensée pouvant être vraie ou fausse, donc le jugement, qui est prouvé comme existant de manière indubitable, et il n'y a aucune raison pour limiter la validité de cette existence à la sphère individuelle : la "vérité" est d'emblée intersubjective et universelle , et le nouveau domaine d'existence découvert, celui de la Raison, ou de la "conscience intellectuelle" de Brunschvicg, dépasse (et contient) tout ce qui est d'ordre individuel. Je suis ici aussi (une fois n'est pas coutume) de l'avis de Sartre (dans la "Transcendance de l'Ego") : le "moi" est un objet du monde, comme les autres objets mondains (tables, maisons, outils,...) manipulés, c'est à dire conçus par la Raison (cad Dieu).

    Nous avons donc ici une première "Vérité" absolue qui , bien plus que "Je pense, je suis", peut se dire : "La Raison est, Dieu est, c'est à dire pense en mon esprit comme en celui de tout être se vouant à la Raison".

    La Raison est ici fondée péremptoirement et "forcée" en quelque sorte à exister, ce qui peut se dire aussi "Dieu prend naissance" (mais pas dans une étable !). Pourquoi ? parce que l'Essence devient ici existence ! il s'agit en somme d'un argument ontologique, mais échappant aux critiques qui ont été légitimement adressées à ce type d'argument pas Kant et Frege notamment. "Cent thalers" réels et "cent thalers imaginaires" sont la même notion, l'existence n'est pas une propriété qui s'ajoute aux autres propriétés ou caractéritiques définissant une essence. Ou encore : l'existence n'est pas une propriété de l'objet, mais du concept définissant l'objet. "Les tables existent" veut dire  "le concept de table est tel qu'il en existe au moins un exemple".

    Mais soit l'essence de Dieu comme Raison, comme pensée rationnelle : alors pour la penser, pour examiner si elle existe ou non, il faut...penser rationnellement. Il faut donc que la Raison opère pour vérifier si l'essence (nominale, proposée à titre de projet scientifique)  de la Raison conduit à une existence réelle. La pensée doit exister (comme opération) pour penser la pensée.  L'essence coïncide donc ici , selon une évidence apodictique,  avec l'existence. Ou encore, pour le dire autrement, à la manière de Lequier : la recherche (par le débat rationnel) d'une première vérité absolue conduit immédiatement (sans médiation par une inférence ou dérivation) à une première vérité : c'est à dire que "je cherche une vérité" (ou encore : "nous cherchons, nous la communauté des hommes qui de par un choix libre nous vouons à la Raison et refusons le dogme, l'autorité et la violence, une vérité").

    Ce n'est rien d'autre à mon avis que le SENS absolu (rationnel)du la maxime évangélique : "Cherchez et vous trouverez". Le futur n'est ici plus de mise. Celui qui cherche trouve immédiatement la vérité qui est : "qu'il cherche", et qui contient aussi bien d'autres choses, notamment que pour chercher, il doit reconnaitre la validité de la raison, la possibilité de penser selon le vrai et le faux, la possibilité de juger infailliblement (sans lisières dirait Hegel) si l'on pense le vrai ou le faux, etc..etc.. : bref tous les attributs de Dieu, c'est à dire de la RAISON.

    On trouve aussi dans cette preuve l'identité de l'Etre et du Savoir réclamée par Schelling ou Wronski pour faire naitre l'Absolu, l'Inconditionné.. Ou, en termes hégéliens : "La raison prend ici conscience d'être toute réalité". Mais je préfère à toutes ces formulations celles de Brunschvicg, qui est pour moi l'indépassable Sage qui a habité parmi nous:

    Le Dieu de la sagesse qui renvoie à l'enfance, celui des contes de nourrices, cède la place au Dieu entièrement spirituel qui est la source de la Vérité , et donc de l'Amour spirituel entre les hommes.

    Les hommes et aussi les femmes, bien entendu !

    J'appelle ce Dieu : RAISON. Il est bien Créateur, mais créateur des "vérités éternelles", comme le souligne Descartes avec sa théorie bien connue. Quant au monde, arrêtons de nous en soucier : le monde ne vaut pas une seule vérité ! Ce DIEU, qui est le seul DIEU, n'est pas l'objet d'une croyance mais d'un SAVOIR absolu.

    Tous les faux dieux des idolâtres qui se dénomment "croyants" doivent maintenant être confondus et détruits par la lumière rationnelle de ce DIEU-RAISON fondé ici péremptoirement. Ainsi seulement, l'apparition d'un MAL RADICAL , auprès duquel le nazisme du 20 ème siècle ou le stalinisme feraient figure d'aimables romans à l'eau de rose, sera évitée.

     


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    Un dialogue a eu lieu le 4 février 1913 entre Jules Lachelier et Emile Dürkheim dans le cadre de la société française de philosophie, à propos du fait religieux.
    Selon Dürkheim, qui reprenait les thèses pragmatistes, le phénomène le plus caractéristique de la religion est l'accroissement du potentiel vital:
    "le croyant n'est pas seulement un homme qui voit, qui sait des choses que l'incroyant ignore : c'est un homme qui peut davantage.Les fidèles peuvent se représenter inexactement le pouvoir qu'ils s'attribuent. Mais ce pouvoir, en lui même, n'est pas illusoire. C'est lui qui a permis à l'humanité de vivre"
    Selon Lachelier au contraire:
     "la question de la force n'a rien à faire dans l'état de conscience qui peut seul, selon moi, être appelé religieux, j'entends l'état que Kant a décrit dans La religion dans les limites de la simple raison : l'état d'un esprit qui se veut et se sent supérieur à toute réalité sensible, qui s'efforce librement vers un idéal de pureté et de spiritualité absolue, radicalement hétérogène à tout ce qui, en lui, vient de la nature et constitue sa nature...l'âme religieuse se cherche et se trouve hors du groupe social, loin de lui et souvent contre lui".
    Le spiritualisme mathématiste,  rationaliste et nominaliste de Brunschvicg est encore plus pur et admirable :
    " le propre de l'esprit est de s'apparaitre à lui même dans la certitude d'une lumière croissante, tandis que la vie est essentiellement menace et ambiguïté. Ce qui la définit c'est la succession fatale de la génération et de la corruption. Voilà pourquoi les religions, établies sur le plan vital, ont beau condamner le manichéisme, il demeure....à la base de leur représentation dogmatique...ce qui est constitutif de l'esprit (est) l'unité d'un progrès par l'accumulation unilinéaire de vérités toujours positives. L'alternative insoluble de l'optimisme et du pesimisme ne concernera jamais que le centre vital d'intérêt; nous pouvons être et à bon droit inquiets en ce qui nous concerne de notre rapport à l'esprit, mais non inquiets de l'esprit lui même que ne sauraient affecter les défaillances et les échecs, les repentirs et les régressions d'un individu, ou d'une race, ou d'une planète.
    Le problème est dans le passage , non d'aujourd'hui à demain, mais du présent temporel au présent éternel. Une philosophie de la conscience pure, telle que le traité de Spinoza De intelelctus emendatione , en a dégagé la méthode, n'a rien à espérer de la vie, à craindre de la mort.L'angoisse de disparaitre un jour, qui domine une métaphysique de la vie, est sur un plan; la certitude d'évidence qu'apporte avec elle l'intelligence de l'idée, est sur un autre plan"

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