• Appel à quitter l'ISLAM

    http://www.islam-documents.org/

    Il y a certainement des tas de bonnes raisons pour abandonner l'Islam : turpitudes morales accompagnées d'une hypocrisie révoltante, sort injuste fait aux femmes et aux minorités religieuses, régression intellectuelle, économique et humaine, obscurantisme ridicule attirant le mépris condescendant (caché par souci du politiquement correct mais réel) des occidentaux, etc...

    Tous ces motifs  existent mais peuvent cesser d' être de bonnes raisons si l'Islam arrive à se moderniser et à se réformer dans les prochaines années : ce qui est improbable mais pas tout à fait impossible.

    Il est par contre une raison impérative à l'apostasie qui tient à la nature même de l'Islam dès son origine coranique, qui lui est essentielle et consubstantielle et ne saurait donc être supprimée par aucune évolution.

    Il faut quitter l'Islam parce que cette secte est fondée sur la haine, la jalousie et le ressentiment, et amène forcément la violence et la guerre.

    Or ces sentiments et pulsions négatifs rendent ceux qui en sont victimes malheureux. Voilà un motif essentiel à l'abandon immédiat de l'Islam, soit pour une autre religion (l'éventail est large) soit pour une relation individuelle avec Dieu ou "les dieux" (déisme ou théisme), soit pour un agnosticisme ou un athéisme ouvert. Ou encore pour une autre option, tant il est vrai que c'est l'homme, cet être "le plus inquiétant" (Sophocle repris par Heidegger), qui (se) donne les possibles et les choix. Quitte à sombrer par la suite à cause d'un engagement spirituel malheureux.

    Le Coran est comparable à un paquet de tracts, du plus mauvais goût. Les mythes dont il se sert pour ses visées éhontées sont TOUS contenus dans la Bible, à l'exception d'un seul, qui est d'origine païenne : le mythe de la Caverne, qui prend sa source dans celui des 7 dormants d'Ephèse.

    Le Coran se fonde sur les écrits juifs et , dans une moindre mesure, chrétiens. Ce qui en soi ne serait pas un mal, s'il créait une nouvelle voie.

    Mais il ne choisit pas la voie de la création et de la liberté : il vole aux juifs leur Sagesse et se lave les mains de ce hold-up en les traitant de "peuple pervers et adversaire de Dieu". Les psychiatres connaissent bien ces stratégies de refoulement. Quant aux chrétiens, ils sont considérés comme "associateurs" et mécréants.

    Le Coran, et donc l'Islam, choisit ainsi dès le départ la voie de la haine et de la guerre conquérante. Mais ce n'est hélas pas tout : car il se produit vers le crépuscule du Moyen Age européen un fait capital dans l'évolution humaine : ce sont les mécréants et les impies chrétiens (puis plus tard des juifs émancipés du ghetto par les Lumières ) qui en créant la science moderne et son cadre (ou plutôt ses cadres) philosophiques, inventent une nouvelle forme de l'Etre-là et de l'Esprit. Faisant mentir l'Ecclésiaste, les Européens des débuts de l'ère moderne (Descartes, Galilée, Leibniz, Newton, Spinoza), s'appuyant sur le legs grec aussi bien platonicien  qu'aristotélicien transmis (mais non  travaillé, à part quelques génies comme Avicenne, Sohravardi  ou Averroès qui étaient d'ailleurs sortis de la stricte orthodoxie islamique) par les arabo-musulmans et transformé par les Scolastiques (Thomas d'Aquin, Suarez), permettent qu'il "y ait du nouveau sous le Soleil".

    Cette mutation profonde de l'humanité occidentale et donc de l'humanité tout court, dont nous n'avons pas encore aujourd'hui compris tous les aboutissants, s'accompagne à partir du 18 ème siècle d'un développement prodigieux de la techno-science, qui donne à l'Occident des "pervers et des mécréants", une supériorité définitive et globale sur les "soumis" du monde islamique.

    Là se trouve la racine de la misère spirituelle des peuples musulmans, notamment arabes et turc. Constater que s'ils veulent survivre ils doivent se courber et demander assistance aux impies qui ont mieux réussi est par trop insupportable. Aussi une partie du monde islamique choisit la fuite en avant et le déni du Réel dans le jihad et le terrorisme. La fondation d'Israel n'a rien à voir là dedans : avec Israel l'Islam a trouvé un prétexte pour rendre son antique haine des juifs honorable. Mais cette haine et ce ressentiment existeraient même si Israel n'avait jamais vu le jour.

    Il faut quitter l'Islam parce que la fierté et la liberté , l'affrontement courageux aux ténèbres, sont inscrits dans la nature de l'Homme, alors que le ressentiment ne l'est pas.