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Jean Pierre Melville : le deuxième souffle (1966)
À la naissance il n’est donné à l’homme qu’un seul droit : le choix de sa mort.
mais si ce choix est commandé par le dégoût de sa vie, son existence n’aura été que pure dérision
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Commentaires
Comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer D-ieu plus que l'être-pour-la-mort...
une fourmi noire,
dans la nuit noire,
sur la terre noire,
sous une pierre noire,
D-ieu seul la voit
et ici le diable souffle : Dieu....et la police, peut être ?
À la naissance il n’est donné à l’homme qu’un seul droit : le choix de sa mort.
mais si ce choix est commandé par le dégoût de sa vie, son existence n’aura été que pure dérision