• Cette pseudo-religion de l'amour ("si tous les gars du monde...") et de l'unité entre les peuples (autour d'un seul objectif : s'enrichir et "s'éclater"), nous savons déjà comment elle s'appelle, et depuis longtemps : ce n'est rien d'autre que le paganisme. Le péché capital du christianisme est de n'être pas (assez) chrétien, puisque son dieu qui meurt et qui renaît n'est autre que Dionysos sous une autre appellation, et quant à l'Islam, mieux vaut n'en rien dire...c'est à peu près tout ce qu'il mérite !

    encore le paganisme gréco-latin avait il des côtés bien sympathiques, puisque les déesses parait il descendaient parfois de l'Olympe pour partager la couche d'heureux mortels, ainsi Aphrodite déesse de l'Amour avec Anchise père d'Enée fondateur de Rome... et donc un peu du christianisme historique, puisque celui ci a voulu se situer dans la continuité de la Rome antique.

    Mais de nos jours Aphrodite est devenue la vénus des carrefours, qui comme chacun sait d'ailleurs ne hante plus les carrefours depuis longtemps, puisqu'elle a son site Internet avec les tarifs, prestations...je ne serai pas plus précis, ce serait du proxénétisme , ou au moins de l'incitation à la débauche et à la prostitution, et c'est puni par la loi, même en France!

    Ah oui ! quelle belle réussite de l'Occident chrétien, avoir transformé la déesse de l'Amour en professionnelle ! il est vrai que l'Islam fait mieux, il les crée par paquets de 72, promises à chaque croyant masculin "après la mort", au paradis d'Allah. Cela doit en faire un certain nombre ...

    et quant aux immortelles de notre époque, si ce sont les blondasses siliconnées et hystériques à la Madonna, le pauvre mortel que je suis préfère se la mettre derrière l'oreille et rentrer tout seul dans sa chambrette, dormir tout seul entre ses draps bleus glacés... après tout : "chacun fait fait fait cki lui plait plait plait " non ? c'est même la seule loi qui vaille, ou presque,  en Occident post-moderne ...

    cette pseudo-religion de l'amour universel, que nous avons déjà vue émerger dans ses oripeaux ridicules en 1986, avec l'outrecuidant et infâme "tube" "We are the world" (excusez du peu ! ces gens là ne se prennent pas pour de la crotte !), et qui est elle aussi le résidu dégénéré du christianisme, qui avait quand même des aspects plus nobles, elle n'oublie pas de "se servir" au passage : certes on chante pour l'Ethiopie, mais il y a du répondant côté finances, n'est ce pas ? Lionel Richie n'est pas précisément un clochard ni un ascète de dieu, et si Michael Jackson a parait il tout dépensé, il était loin d'être à la rue...quant aux pauvres africains que l'on aime tant et que l'on veut aider, je dirai que le sort de l'Ethiopie comme de la Somalie ne paraît guère amélioré au bout de 25 ans...

    il faudrait que toute l'équipe de "We are the world" vienne chanter en direct (et gratuitement, pourquoi pas ?) devant les islamistes de Somalie...cela promettrait de beaux spectacles en perspective !

    cette pseudo-religion n'a pas plus peur du ridicule et du grotesque que ses " cultes prédecesseurs" : ainsi le sermon d'hier soir suggérait que "Dieu a rappelé à lui Michael parce qu'il avait besoin de lui"...

    bon sang mais c'est bien sûr !! Dieu veut organiser un grand concert de pop music au ciel ! il a besoin de s'entourer de grands talents !

    Freud voyait paraît il dans les religions des formes de délire collectif... mais que dirait il de cette nouvelle et grotesque pseudo-religion ?

    répondons pour lui : il est clair pour moi qu'une grande partie de l'humanité (pas seulement l'occidentale, car l'islamique, la japonaise, la chinoise  ou d'autres développent d'autres formes de délires) est tout simplement en train de sombrer dans la folie.

    Et comme les psychiatres, c'est à dire ces faux scientifiques mais vrais escrocs diplômés de cette fausse science que l'on nomme psychanalyse, sont incapables de soigner la folie individuelle, ils risquent de ne guère être plus efficaces pour celle ci, beaucoup moins facilement "localisable" pour commencer....

    Aidons les à devenir plus intelligents et efficaces, si cela est possible (ce dont je doute, mais le trou de la sécu n'attend pas).

    Il existe un livre prodigieux, traduit récemment en français aux éditions de l'Eclat , d'Hermann Broch, ce grand romancier-poète "gnostique" et juge inflexible de notre pseudo-civilisation : "Théorie de la folie des masses". Il a déjà décrit cette plongée de toute une communauté dans la folie sanguinaire et les cultes pagano-magiques dans un roman extraordinaire : "Le Tentateur", où Hitler est préfiguré sous la forme d'un bateleur sans domicile fixe, sans travail et sans famille, , Marius Ratti,  qui fait un jour son apparition dans un village de montagne qu'il mènera à l'abîme et à la destruction, tel un nouveau joueur de flûte de Hameln, et où la seule figure d'espoir , qui résiste et finalement arrive à vaincre Marius est une paysanne détentrice des secrets des anciens temps, la Mère Gisson (anagramme de Gnosis).

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Hermann_Broch

    http://www.paperblog.fr/497704/le-tentateur-d-hermann-broch/

    Mais l'ouvrage dont je parle est de forme plus philosophique et théorique, il a été écrit avant la deuxième guerre mondiale, à l'occasion de la montée du nazisme, mais il s'applique tout aussi bien, sinon encore mieux, à nos temps de crise et de nihilisme planétaire, voici les lignes du début, écrites en 1939 :

     "chacun sait quelle folie s'est aujourd'hui emparée du monde, chacun sait qu'il participe lui même à cette folie, comme victime active ou passive, chacun sait donc à quel formidable danger il se trouve exposé, mais personne n'est capable de localiser la menace, personne ne sait d'où elle s'apprête à fondre sur lui, personne n'est capable de la regarder vraiment en face, ni de s'en préserver efficacement.

    L'homme est prêt à tomber dans un égarement collectif, ce n'est un secret pour personne, et ce devrait donc être un problème pour tout le monde. Appeler la science à étudier ce problème mystérieux et fonder dans ce but une institution appropriée, cela devrait paraître aussi justifié que nécessaire à quiconque a pris la mesure du danger. La contamination psychique des masses n'est certainement pas moins pernicieuse pour l'humanité que le développement des maladies cancéreuses..."

    à notre époque, nous pourrions et devrions dire que cette contamination psychique et pseudo-religieuse n'est pas moins pernicieuse que les maladies comme le SIDA ou que la pollution et le réchauffement climatique : car à quoi bon une planète propre si c'est pour qu'elle devienne un vaste asile de fous furieux ?

    cette "institution appropriée", Broch en a eu le projet sous la forme d'une résolution d' alliance entre les peuples, et il envoya des projets et études  préliminaires à des intelelctuels, comme albert Einstein qui le rçut avec beaucoup de sympathie et mit Broch en contact avec l'université de Princeton, tout en se méfiant de toute création d'une institution officielle (et je pense qu'il avait raison). Toujours est il que bien sur la guerre éclata peu après et le projet ne vit jamais le jour...

    Broch mourut en 1951, Einstein en 1955, tous deux avec une conscience aigüe des terribles dangers qui planent sur l'humanité, et cela pas moins en 2009 qu'en 1940 ou 1950...

    C'est de tels intellectuels dont nous avons besoin, et dont nous manquons désespérément... car la folie collective, elle continue, elle se propage, c'est la même qu'en 1914 ou 1939, et sa racine est claire : il s'agit de la prise de conscience par une partie de plus importante du public de l'enfermement planétaire (allusion à un livre écrit récemment par l'ancien directeur de la Météo nationale).

    Cette prise de conscience a réalisé un saut qualitatif brutal en 1969, lorsque les premiers clichés de notre planète pris par des humains depuis une autre planète devinrent accessibles...

    entre parenthèses d'ailleurs, la thèse de Husserl selon laquelle la Terre est plus et autre chose qu'une planète parmi toutes les autres, mais la protofondation transcendantale, le sol "qui ne se meut pas" de toute autocompréhension rationnelle humaine, cette thèse me semble avoir pris ce jour là un sérieux coup dans l'aile... mais la philosophie de Brunschvicg l'avait déjà réfutée à l'avance... en tout cas, ce jour de juillet 1969, deux astronautes américains trouvèrent un nouveau "sol à fouler", loin du sol  de la planète Terre , qui était bel et bien en mouvement par rapport à leur repère spatio-temporel temporaire.

    Le "sol qui ne se meut pas" n'a rien de commun avec une planète physique : ce sont les équations de la relativité générale; ultimement ce sont les principes intellectuels (informulables, sinon ce seraient des axiomes) de la Mathesis universalis.

    Ou encore : il s'agit de Dieu, en qui nous avons notre raison et notre compréhension de ce qui nous écrase en tant qu'êtres vivants limités dans l'espace-temps.

    L'ordre de l'esprit passe infiniment l'ordre de la matière et de la vie : car c'est selon l'esprit que nous jugeons notre vie supportable ou insupportable, jusqu'à y mettre fin éventuellement.

    Quant au troisième ordre, l'ordre de la charité, qui selon Pascal passe infiniment l'ordre de l'esprit, nous le refusons (ici) ; c'est en ce sens que nous ne sommes pas chrétiens selon la foi, nous cherchons à devenir (peut être, un jour ? l'espoir fait vivre) des "adeptes" du christianisme des philosophes, selon la belle formule de Spinoza et de Brunschvicg; Dieu , le Dieu des philosophes et des savants, est Esprit, ce n'est pas un Dieu que l'on prie, qui nous "connaît" individuellement, par notre nom, que l'on "rencontre" en face à face, selon une perspective de "visage". Ce n'est pas une "personne", même symboliquement : Dieu, ce sont les ultimes principes qui rendent possible toute pensée "solide", "absolue", principes que nous nommons "Mathesis universalis"; encore cette formulation s'auto-détruit elle immédiatement, puisque si Dieu est Esprit, il est l'Un, et donc ne peut être "plusieurs principes"... mais nous parons d'En Bas, le sommet est inaccessible et invisible... mais il y a un sommet, sinon il n'y aurait pas d'en bas ni d'en haut, et nous aurions tous les droits, toutes les possibilités...aucune orientation pensable dans la forêt non dénombrable de l'Etre et du virtuel... diable !

     Cet "enfermement planétaire" n'a aucune autre issue que celle là, dans l'esprit donc et non dans la chair : car si la "conquête de l'espace" a pu un temps (très bref) donner l'espoir (mais est ce bien un espoir ?) que l'humanité pourrait un jour migrer en masse vers une autre planète, ces illusions sont bel et bien terminées.

    Peut être enverra t'on un jour (lointain) une mission habitée vers Mars, et encore, compte tenu des déficits publics abyssaux qui frappent les Etats qui pourraient le faire, j'en doute fortement : c'est techniquement possible, encore que les problèmes à résoudre soient immenses, mais c'est extrêmement coûteux, pour ne pas parler de l'installation définitive d'une petite colonie humaine sur la planète rouge.

    Aucune autre planète du système solaire n'offre de conditions appropriées à la vie, et dans l'était actuel de la science il est impossible d'envisager un vol habité vers d'autres systèmes solaires ou galaxies : cela réclamerait des vaisseaux approchant la vitesse de la lumière, et personne n'a la plus petite idée de la manière de les construire, et surtout de rendre de tels vols, avec les accélérations prodigieuses qu'ils impliquent, possibles à des voyageurs humains... personne en dehors des oeuvres de science-fiction bien sûr.

    Résumons donc ce que nous savons (et non pas ce que nous croyons) sur notre situation humaine en tant que vivants habitant la planète Terre : nous sommes bouclés à jamais sur un tout petit rocher, un minuscule grain de poussière à l'échelle de l'univers (et même moins qu'un grain de poussière). Faute d'une gestion responsable des naissances le nombre des humains s'accroît de façon dramatique, pour des ressources en eau , en air et en alimentation qui ne sont pas extensibles à l'infini. Ceci pour ne parler que de notre situation "physique".

    Telles sont les données du problème.

    Et comme beaucoup commencent à se douter que personne, et surtout pas les divers "experts", "gestionnaires", "politiques" et "décideurs", n'a la plus petite idée pour commencer à régler ce problème, beaucoup (tout le monde ?) préfèrent chercher des "divertissements", sous des formes très diverses: sexe, alcool, drogues, télévisions, Internet, jeux videos, journaux, concerts rocks ou "raps" , films à la con,  méditations, prières, guerres, attentats, "brigades du vice et de la vertu", lynchages d'homosexuels, lynchages racistes ou antisémites, crimes divers et "gratuits", violences diverses, etc... la liste est loin d'être exhaustive. Et vous, cher lecteur, voire chère lectrice, vous choisissez quoi ? le sexe ? moi aussi ! car ça ne donne pas la gueule de bois, comme l'alcool...mais attention aux frsutrés, jaloux, moralistes, nostalgiques de l'amour éternel... ah comme tout cela est compliqué ! peut être ferait on meiux de rester couché, seul dans ses draps bleus glacés...n'est ce pas ce que disait le grand Pascal ? tous nos malheurs nous viennent de notre besoin de divertissements, de ce que nous ne pouvons pas rester seul dans notre chambre...

    Tel est l'Abîme sans fond de la folie collective où nous sommes tous en train de sombrer, sous les étoiles indifférentes...

     


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  • Ce qui s'est passé hier à Los Angeles à l'occasion des funérailles de Michael Jackson  est grotesque, terrifiant et proprement satanique.

    Mais cette formule doit être immédiatement amendée, car bien sûr, cela ne se limite pas à Los Angeles, et cela date de bien plus longtemps que d'hier, ou même d'avant-hier... par medias interposés, c'est le monde entier qui a assisté, médusé ou complice, à cette "cérémonie" des funérailles de Michael Jackson.

    Nous assistons en direct à la création d'une pseudo-religion de l'unité, c'est à dire d'une contre-façon satanique de la véritable unité, dont j'ai souvent dit, ici ou ailleurs, qu'elle était l'horizon définitif de la religion véritable, c'est à dire de la religion philosophique, et que rien ne peut être envisagé au delà de cette unité (de l'humanité et de tout être raisonnable, si du moins il y en a en dehors de l'humanité ou en elle).

     Cette unité n'est rien d'autre que la Raison, ou encore le Dieu des philosophes et des Savants. Mais en aucun cas elle ne peut être conçue en termes (mathématiquement) ensemblistes, comme l' ensemble des êtres définis comme humains, un ensemble fini ayant comme sous-ensembles les divers peuples de la Terre avec leurs différentes religions et cultures.

    Car un ensemble appelle une transcendance pour fonder son unification comme ensemble, et donc une telle unité ne serait pas l'unité dont nous parlons, et exigerait un "Dieu" transcendant pour la fonder : et nous n'en aurions donc pas fini avec les (fausses) religions, ni donc avec les guerres de religions...et donc cette unité volerait immédiatement en éclat.

    L'unité doit être pensée en termes d'unification, de dynamisme, de processus , de "progrès de la conscience", de travail indéfini (ne pouvant avoir de terme assignable dans le temps de l'Histoire) et Infini (car cette unité n'est autre que Dieu, c'est à  dire l'Infini, qui est tout autre chose que l'indéfini).

    J'ai souvent attaqué les thèses de René Guénon, mais je partage, et même je dépasse ses affirmations sur la nature de l'Occident actuel...

    selon Guénon, l'Occident, qui débute en Europe avec Philippe Le Bel et le procès des Templiers, est une anomalie de l'histoire, destinée a connaître d'ici peu (vers 2030 selon les estimations de Gaston Georgel) une fin tragique dans laquelle il risque d'entraîner toute l'humanité; cette anomalie (et c'est là à mon avis une contradiction dans le système de Guénon, mais ce n'est pas ici le lieu pour de tels débats) se situe cependant en phase avec la tendance et la nature essentielle de l'Histoire, qui consiste en une dégradation et un éloignement accélérés du Principe, ou encore, pour parler comme Cioran, en une "chute dans le Temps".

    Selon les vues exprimées sur ce blog et les autres de "Mathesis universalis", l'Occident actuel est une dégénérescence de l'Occident véritable, qui est celui de l'émergence de la science moderne au 16ème-17ème siècle européen.

    Toute la tragédie du nihilisme contemporain, qui ne date pas d'hier, ni même de 1914, provient de la séparation , intervenue au 18 ème siècle après la mort des derniers grands philosophes : Leibniz et Malebranche (en 1715), entre philosophie et science... une séparation qui est devenue depuis un gouffre abyssal, semblant  impossible à compler ou franchir...

    L'Occident véritable ne doit pas être conçu en termes géographiques, temporels ou "historiaux", ni ethniques. Il est, et lui seul, proprement "éternel", puisque lui seul envisage l'éternité en termes intelelctuels, et non pas imaginaires : je fais là allusion au projet d' intelligibilité globale de l'univers, qui fonde la science, dont Einstein assurait qu'il n'est autre que Dieu,  et qui est lisible par exemple dans l'Ethique de Spinoza, livre  fondateur de l'Occident.

    Par contre l'Occident actuel, caricature satanique du véritable Occident, est bel et bien de nature géographique : selon les visées de la globalisation, il doit recouvrir la Terre entière. De nature temporelle : il a à voir avec les Lumières (partielles, et donc fausses) du 18 ème siècle européen.

    Et aussi ethnique : car parler de l'unité de toutes les races et de tous les peuples dans l'amour (paroles, paroles paroles dirait Dalida....words, words, words dirait Hamlet, ou plutôt Shakespeare) c'est encore distinguer des races, peuples, ethnies... et l' on sait qu'avec l'idéologie de la "diversité", cette distinction, cette "différence" (qui n'en est pas une car tous se confondent dans la culte planétaire de l'argent et de la réussite individuelle) deviennent une obsession...

    Tout ce "prêt à penser" (et surtout à larmoyer) ténébreux part des USA, qui constitue l'exemple même de ce que l'on pourrait appeler une société (et une humanité) inférieure, dont tout l'horizon de valeurs peut se résumer en : "prends l'oseille et tire toi" , ou bien, pour parler comme un "rappeur" célèbre : "get rich or die tryin'".

    Mais nous aurions tort de nous placer vis à vis de ce courant dans une position de supériorité et de "juge", car nous ne valons guère mieux : honte à ces français que l'on a vus "perdre connaissance" (pas pour plus de quelques minutes j'espère, pour que les équipes de psychologues les prenne au plus vite "en charge", et tout ça aux frais de la sécu bien sûr)) ou "fondre en larmes" hier soir sur les Champs Elysées...

    En attendant, il nous reste, à nous autres les derniers insoumis, épris de liberté, à nous répéter les formules lapidaires de Nietzsche : devant Dieu tous les hommes sont égaux...oui mais ce dieu est mort, et nous refusons d'être égaux devant la populace.


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